3 septembre 2010
DOSSIER PRESSE / Centre Culturel Sartène
Publicité
Publicité
Publicité
Publicité
9 novembre 2009
Nouveauté à paraître le 2 décembre 2009
UN SEL D’ARGENT
Mimoria arghjintina
Norbert Paganelli
Norbert Paganelli présente 73 clichés extraits des archives de Joseph Nicolaï, correspondant de presse dans le Sud de la Corse à la fin des Trente Glorieuses. Prises sur le vif par un photographe formé sur le tas, ces images restituent le regard simple, franc et direct porté par un corse sur son univers familier. La collection de clichés réunie dans l’ouvrage forme le tableau attachant d’un passé à la fois très proche et déjà si lointain… Norbert Paganelli en déroule le diaporama, et l’accompagne de textes poétiques où le poème en corse et le poème en français amorcent, chacun à sa manière, l’incorporation dans notre imaginaire de ce passé à la fois trop récent et déjà si lointain. Sa place y est encore diffuse, à mi chemin entre deuil et Histoire. Entre un travail à conclure et un autre à commencer. Regard de l’homme mûr sur des images où s’entrechoquent ce qui n’est plus et se pleure encore, ce qui est toujours là et se savoure à jamais.
Il en résulte un livre au format intime,
à feuilleter comme une méditation,
en image et poésie.
160 pages au format 100 x 190 mm sous couverture brochée
Prix public 14,00 €
9 novembre 2009
Un nouveau concept de maison d'édition
LA GARE fait naître un nouveau concept de maison d’édition dosant de manière originale le virtuel et le traditionnel, le web et sa toile, le papier et sa fibre, les officines tenant stock et boutique, et les électrons libres agitant les lettres et les idées. Cette structure d’une incroyable légèreté, et d’une redoutable efficacité, a été conçue par Xavier Casanova, consultant en ingénierie éditoriale. Ce vieux routier de l’édition parisienne s’est replié sur la Corse à l’âge où, fortune faîte et peines accomplies, d’autres rentrent au village, s’y garent à jamais et y déroulent comme une légende leur curriculum vitæ de grands explorateurs des plus grandes faiblesses humaines, et leurs vies déroulées comme un roman plutôt qu’une carrière. LA GARE n’est autre qu’une de ces nombreuses stations qui ponctuent la ligne ferroviaire désaffectée de la Plaine Orientale de la Corse. Jusqu’à l’entre deux guerres, celle de Ghisonaccia était le terminus, vers lequel convergeaient en étoile les chemins desservant les villages des alentours, d’où l’on descendait en cabriolet partir pour l’aventure, ou en recueillir sur le quai les premiers mots. LA GARE renoue à sa manière avec ce passé de nœud de réseau. Autre aventure…
Publicité
Publicité